Phrases simples, phrases complexes les propositions
La phrase complexe : les propositions juxtaposées et coordonnées.
PASSAGE DE LA JUXTAPOSITION A LA COORDINATION..
Les types de proposition : les propositions subordonnées
1) LES SUBORDONNEES CONJONCTIVES INTRODUITES PAR « QUE » (complétives)
2) COMPLÉMENT CIRCONSTANCIEL DE TEMPS
3) COMPLÉMENT CIRCONSTANCIEL DE CAUSE
4) COMPLÉMENT CIRCONSTANCIEL DE CONSÉQUENCE
5) COMPLÉMENT CIRCONSTANCIEL DE BUT
6) COMPLÉMENT CIRCONSTANCIEL DE CONDITION
7) COMPLÉMENT CIRCONSTANCIEL DE CONCESSION ET DE COMPARAISON
8) LES SUBORDONNÉES INFINITIVES, PARTICIPES, INTERROGATIVES
Les propositions subordonnées conjonctives.
Complétez les phrases suivantes de manière à obtenir une subordonnée de ...
Pour analyser de façon détaillée les propositions d'une phrase :
souligner les verbes de la phrase, entourer le mot permettant de relier les propositions, encadrer les propositions et les nommer.
Vous pourrez utiliser les abréviations suivantes en les complétant comme il convient PI proposition indépendante, PP proposition principale, PS proposition subordonnée
C'était au temps d'avant le temps. Les hommes vivaient sur la Terre, heureux. Tous se comprenaient, s'entendaient, ils parlaient une même et unique langue.
Ensemble, ils découvrirent une vallée paradisiaque : elle était bordée par la mer, la végétation y poussait abondante.
Alors les hommes décidèrent : « Nous avons trouvé le territoire qu'il nous faut ! Nous allons nous y installer et ne plus jamais nous séparer. Nous allons bâtir une ville dans laquelle nous vivrons bien tous ensemble. »
Pleins de courage, ils se mirent tous à l'ouvrage. La ville fut construite ; les hommes n'oublièrent rien : des maisons, des moulins et des ponts.
1. Soulignez en bleu dans le texte trois phrases simples, et dites comment vous les avez reconnues.
2. Soulignez en rouge une phrase complexe de votre choix. Vous la recopierez sur votre feuille et en analyserez avec détail toutes les propositions.
3. Deux phrases sont écrites en caractères gras dans le texte. Vous identifierez les types de propositions représentés.
Reliez les propositions des phrases suivantes par une conjonction de coordination que vous aurez soigneusement
choisie : (or, mais, ou, et, donc, ni, car)
2. Je ferai deux choses pour vous : je participerai à votre réunion, je signerai votre pétition.
3. Laure a un bouton sur la joue : elle est si bien maquillée que cela ne se voit pas.
4. Ayant peu de temps, je ne pourrai tout visiter: je verrai le musée, j'irai au zoo.
5. Le médecin dit que tu es guéri, et ton père déclare que tu peux sortir ; tu peux venir avec nous.
Faites l'analyse complète des propositions des phrases suivantes.
1. Le malade s'agite parce qu'il souffle.
3. Je te faisais confiance, mais tu m'as vraiment déçu.
4. J'ai lu le livre que tu m'as offert.
5. Les enfants qui s'amusent dans la cour font un bruit assourdissant.
6. Je me demande pourquoi Sylvie est en retard.
7. Etant plus âgé que toi, je prendrai toutes les décisions importantes.
S. Si tu n'étais pas maladroit, je t'aurais confié plus de responsabilités.
9. Dès que tu auras fini tes devoirs, tu m'accompagneras à la piscine.
Or, mis, ou, et, donc, ni, car, : conjonctions de coordination
Aussi, pourtant, puis, cependant, toutefois, néanmoins, si si, soit soit : adverbes
En effet, bien plus, d’ailleurs, au contraire, c’est pourquoi, par conséquent... : locutions conjonctives (en 2 mots ou plus)
EXERCICES D'APPLICATION
1 Dans le texte suivant :
Indiquez si chaque proposition entre// est indépendante ou juxtaposée.
Charge de cuirassiers à Waterloo - «1 Toutes les faces des carrés anglais furent attaquées à la fois./2Un tournoiement frénétique les enveloppa./3 Cette froide infanterie demeura impassible./4 Le premier rang, genou en terre, recevait les cuirassiers sur les baïonnettes, /5le second rang les fusillait; /6derrière le second rang, les canonniers chargeaient les pièces, /7le front du carré s'ouvrait, /8laissait passer une éruption de mitraille /9et se refermait./10 Les cuirassiers répondaient par l'écrasement./11 Leurs grands chevaux se cabraient,/12 enjambaient les rangs, /13sautaient par-dessus les baïonnettes/14 et tombaient, gigantesques, au milieu de ces quatre murs vivants. »
V. HUGO
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2. Complétez les phrases suivantes :
Je n'aime pas le cinéma, aussi...
Je crois avoir réalisé un bon travail, toutefois...
Je vous quitte car...
C'est un gentil camarade, cependant...
Tantôt nous quittons le travail en groupe, tantôt...
Nous irons en vacances, soit à
J'admire Victor Hugo, c'est pourquoi...
Le temps paraît beau, néanmoins...
Notre chien n'est pas méchant, par conséquent...
3. Faites apparaître le rapport sous-entendu par la juxtaposition à l'aide de conjonctions de coordination.
Lisez ce livre : il est très intéressant –
Il était tard; il devait finir son travail –
Vous ne travaillez pas : vous échouerez –
Je ne vous emmène pas, je vais très loin, vous ne pourriez pas me suivre –
Il était joyeux, il sourit –
Il sourit, il était joyeux –
Il pouvait raconter des histoires bien étonnantes, on pouvait le croire, il ne mentait jamais.
4. Même exercice -
Il prit son chapeau, sortit sans dire un mot, traversa la chaussée.
- Il tremblait un peu : il avait peur d'échouer –
- Il frappa très fort, attendit : personne ne répondit –
- Tu as droit à une récompense, -tu l'auras –
- Il était riche et puissant : chacun s'inclinait devant lui –
- Son épée s'était brisée; il saisit son poignard.
1. Les subordonnées sont généralement introduites par
un mot de subordination. C'est le cas :
- des subord. interrogatives (mot interrogatif)
2. Certaines propositions sont subordonnées par le sens.
Aucun mot de subordination ne les introduit. C'est le cas
des subord. infinitives
(L'infinitif doit avoir un sujet propre)
des subord. participes
(Le participe doit avoir un sujet propre)
3. Les subordonnées exercent dans la phrase les mêmes
fonctions que le nom dans la proposition.
EXERCICES D'APPLICATION
1. Choisissez le pronom relatif qui convient.
a) Est-ce dont, que, où ?
b) Est-ce lequel, sur lequel, avec lequel, dans lequel, pour lequel ? (+ féminin)
Le pré ............................. nous campons - La voiture .................................. nous voyageons - L'entre
prise ............................... je travaille - L'examen ............................ je me prépare - Le fauteuil ........................... je m'assois - La chaise ........................... je m'assois - L'outil .......................... j'ai achevé cette tache.
2. Utilisez le pronom relatif « auquel » en le faisant varier, selon le cas, en genre et en nombre :
3. Remarque : La subordonnée relative interrompt souvent la principale, surtout lorsqu'elle est
rattachée au sujet.
Ex. : Pasteur, qui fut un grand savant, était modeste.
Il convient de bien veiller à ce que la principale, ainsi interrompue, se développe normalement ensuite.
Application : Achevez les phrases suivantes et soulignez la principale :
Le village où
Les fleurs qui
Le vieil arbre sous lequel
L'outil grâce auquel
4. Remarque : Un pronom relatif peut avoir toute une proposition pour antécédent. Mais cette proposition est alors résumée par ce.
Ex. : Il souriait, ce qui était rare.
Application : Construisez sur ce modèle
Vous m'avez écrit, cela m'a fait plaisir
Tu ne travailles pas et je le regrette
J'ai voulu terminer ma lecture; ceci m'a contraint à me coucher tard
1) Une scène exposée à l'aide de subordonnées complément d'objet.
a) Après un accident de la circulation une discussion s'engage entre les deux chauffeurs ou entre deux témoins :
Il se plaint que ...
Il regrette que ...
Il ajoute que...
L'autre prétend que...
Application : Quelle est la conjonction ou la locution conjonctive remplacée par « que » dans les phrases suivantes :
Remarque : « que » peut parfois remplacer purement et simplement une conjonction.
Ex. : a) S'il crie, c'est qu'il est en colère
(~- c'est parce qu'il est en colère).
b) Qu'il rencontre ses ennemis et il est perdu
(=- s'il rencontre ses ennemis, il est perdu).
Par rapport à l'action de la proposition principale l'action de la subordonnée peut :
« COMME ». peut exprimer des rapports différents:
la cause: Comme il fait froid, habillez-vous davantage.
la comparaison : Il se taisait comme s'il était muet.
b) Avoir lieu avant « Dès qu'ils se furent étendus sur l'herbe, ils s'endormirent. »
Ex. : « Quand ils ont aperçu Monsieur le sous-préfet avec sa belle culotte et sa serviette en chagrin gaufré, les oiseaux ont eu peur et se sont arrêtés de chanter, les sources n'ont plus osé faire de bruit, et les violettes se sont cachées dans le gazon ... »
Quand le soleil apparut à l'horizon...
Quand le professeur entra dans la salle...
Quand vint le printemps...
Lorsque Noël arrivait...
La succession rapide de deux actions marquée par « à peine... que... » ou « pas plus tôt... que... ».
b) il ne fut pas plus tôt assis que la sonnerie du téléphone retentit.
Emploi de « à mesure que... » pour exprimer des actions qui progressent en même temps.
Ex. : A mesure qu'ils s'élevaient au long de la paroi, l'horizon s'étalait plus vaste sous leurs pieds.
Emploi de « chaque fois que... » pour exprimer des actions qui ont lieu en même temps d'une façon habituelle.
Ex. : « Chaque fois que Sophie entendait le bruit d'un équipage, elle se précipitait à Ici fenêtre.»
Application : Indiquez le rapport exprimé par « comme » dans les phrases suivantes :
Il avait pali soudain comme s'il était malade
Comme le soir tombait, Compostelle apparut
Comme il semblait sincère, je l'ai cru.
Achevez les phrases suivantes et analysez les subordonnées :
Comme il semblait soucieux...
Il est inutile de se presser puisque...
Puisque vous vous taisez...
Emploi de « soit que.... soit que... » pour marquer que l'on hésite entre plusieurs causes possibles.
Ex. : Il ne vint pas ce soir-là, soit que le mauvais temps l'eût découragé, soit qu'il se fût couché plus tôt que d'ordinaire.
Remarque: Quand la principale marque une cause, la subordonnée marque Ici conséquence.
Ex. : Il criait fort (cause), de sorte que chacun l'entendit (conséquence).
Complétez les phrases suivantes et précisez ce qu'indique
b) la subordonnée.
Il pleut tellement que...
Il avait couru au point que...
Le feu fut allumé, de sorte que...
Il était tard, si bien que...
Remarque : Le premier mot de certaines locutions conjonctives de conséquence se trouve dans la principale, l'autre dans la subordonnée.
Ex. : « Il rit si fort que Maria pivota sur les talons et lui lança un regard soupçonneux.»
Application : Distinguez les subordonnées de conséquence et les subordonnées de but.
Auberge :« La maîtresse de cette auberge était si fort affairée qu'elle suait à grosses gouttes en remuant ses casseroles...
Trois meuniers dans la petite salle appelaient pour qu'on leur apportât de l’eau de vie. »
Il se plaça au dernier rang de manière que...
Articulez nettement pour que...
La lampe fut allumée de façon que...
Un but que l'on veut éviter : emploi de « de peur que... ».
Nous achèverons ce travail à l'heure dite pourvu que...
Le blessé peut être sauvé à moins que...
Tu réussiras pour peu que...
Nous partirons en camping à condition que...
L'incendie sera maÎtrisé si ...
Analysez les subordonnées dans les phrases suivantes :
Le renard est plus rusé que le loup.
Si puissant que vous deveniez, restez toujours simple.
La victime est moins gravement atteinte qu'on l'avait cru d'abord.
Analysez les subordonnées dans les phrases suivantes :
b) Je m'amusais à voir, de ma fenêtre, les passants trotter. (Valéry).
c) Allons voir le matin se lever sur les monts. (T. de Banville) .
e) L'opération terminée, les garçons causent entre eux. (G. Duhamel).
f) La pluie ne cessant pas, tout Brest se promenait dans les rues. (P. Mac Orlan).
Ex. - Je vois le sol il qui se couche.
J'entends le chien qui aboie au passage du facteur.
Nous regardions les passants qui se bousculaient sur les trottoirs, les voitures qui se pressaient sur la chaussée et la pluie qui commençait à tomber avec un frais pétillement.
Remplacez les indépendantes suivantes par une principale et une subordonnée participe.
Ex. : Le fenêtre fermée, la pièce devint obscure.
Quand il ferma la fenêtre, la pièce devint obscure.
On alluma le feu, la flamme monte, joyeuse.
Il referma le livre et réfléchit.
L'été vint et la pluie ne cessait pas.
Il acheva son travail et sortit aussitôt.
Remplacez l'interrogation directe par une interrogation indirecte à l'aide d'une subordonnée interrogative.
Ex. : Où vas-tu ?
Qui as-tu vu?
Comment va votre frère?
Pourquoi êtes-vous ici?
Lequel d'entre vous m'accompagne?
Pendant combien de temps serez-vous absent?
Distinguez les différentes subordonnées interrogatives du texte. Par quel mot, chacune d'elles est-elle introduite ?(soulignez-le)
perplexité : « Cacambo demanda à un grand officier comment il fallait s'y prendre pour saluer Sa Majesté; si on se jetait à genoux ou ventre à terre, si on mettait les mains sur la tête ou sur le derrière, si on léchait la poussière de la salle, en un mot quelle était la cérémonie.»
Voltaire.
I)Remplacez le groupe nominal surligné par une proposition subordonnée conjonctive :
1) J’attends son arrivée avec impatience.
2) Dès la tombée de la nuit, l’humidité envahit la vallée.
1) Ce promeneur demande que le parc soit interdit aux vélos.
2) Le Titanic a coulé bien qu’il ait été construit avec des normes de sécurité nouvelles pour l’époque.
4) Quand la nouvelle a été annoncée, la stupeur fut à son comble.
5) Une grande fête est prévue en début d’année afin que les nouveaux s’intègrent mieux à l’établissement.
6) Il a fallu de longues négociations avant qu’un accord soit conclu entre les deux pays.
7) Je ne m’explique pas pourquoi il est si souvent en retard.
III) Transformez la seconde phrase en subordonnée relative dépendant de la première phrase :
1) Le collège fait des travaux de rénovation. Ces travaux dureront un mois.
2) Je suis allée voir le Titanic. Le réalisateur du Titanic est James Cameron.
4) Je vais aller acheter les cerises. J’ai besoin de cerises pour faire un clafoutis.
5) J’ai posé un livre sur le fauteuil du salon. Sur le fauteuil, le chat dormait.
Remplacez les groupes de mots en italique par une subordonnée relative ou conjonctive :
8) Le temps virant au beau, nous avons décidé de camper.
9) A cette heure tardive, il ne restait plus dans l’établissement que les élèves finissant leurs dossiers et des professeurs achevant les conseils de classe.
10) Le dîner fini, les cahiers rangés, mes parents m’envoyèrent au lit.
11) Les jeunes gens se mirent à chanter (manière)
12) (temps)...., je vais travailler de meilleur cœur.
13) J’aime rêver en voiture (temps)
14) Nous ne pouvions pas ouvrir la porte (cause)
15) La situation des jeunes demandeurs d’emploi est assez inquiétante (conséquence)
16) Une loi vient d’être votée (but)
17) (condition), je n’aurai jamais choisi ce lieu de stage.
18) (opposition), il ne se trompe jamais dans ses chiffres.
19) Un métal paraît (comparaison), qu’il est plus rare.
20) On ne la reconnaît plus (cause).
1) Elle était grande. |
2) Elle était blonde. |
3) Elle souriait avec amabilité. |
4) Elle était alourdie dans la maturité de la quarantaine. |
5) Elle ne laissait pas apparaître sa crainte. |
6) Sa robe serait tâchée. |
7) Elle fit entrer ses invités. |
8) Le Monsieur et la Dame en manteau de fourrure ouvraient des yeux vagues. |
9) Ils avaient débarqué le matin même du train de Paris. |
10) Ils avaient la face ahurie. |
11) Ils étaient dépaysés. |
12) La Maheude se précipita. |
13) La Maheude offrit des chaises. |
14) Elles refusèrent. |
15) Madame Hennebeau se lassait déjà de son rôle de montreur de bêtes. |
16) Madame Hennebeau se distrayait ainsi de son exil de Paris. |
17) Madame Hennebeau était répugnée par l’odeur fade de misère. |
18) Madame Hennebeau choisissait les maisons de mineurs. |
19) Madame Hennebeau faisait visiter les maisons de mineurs. |
20) Madame Hennebeau répétait des bouts de phrases . |
21) Madame Hennebeau entendait des bouts de phrases. |
Consignes : reliez ces propositions en tenant compte de celles qui sont déjà regroupées en utilisant le maximum de types de propositions (relatives, participiales, conjonctives, infinitives…) et en respectant le sens général.
De 1 à 3 : corrigez les erreurs, de 4 à 7 : explicitez les relations entre les propositions, de 8 à 14 : construisez une principale et une relative avec les deux propositions, de 15 à 17 : remplacez les participiales par des conjonctives, de 18 à 27 : inventez la suite en tenant compte des circonstances .
1) Grâce au dépeuplement du village, on a pu fermer l’école.
2) Il apprécie les romans policiers sous prétexte que le suspens y est très grand.
3) Faute de méchanceté, il a beaucoup d’amis.
4) Il ne s’en serait pas sorti sans l’aide de ses amis ; cette période de sa vie aurait été encore plus pénible.
5) Il ne fera pas le trajet en train demain car il est trop chargé ; il y a des rumeurs de grève.
6) Sabrina est absente. Elle est malade ; elle n’a pas trouvé le lycée.
7) Il était devenu sourd ; c’était un mélomane ; il a beaucoup souffert de son infirmité.
8) Les campeurs parvinrent au ruisseau. Le cours du ruisseau se poursuivait sous les pins.
9) Je vous communique des informations. Je suis sûr de mes informations.
10) Les misères l’ont rendu morose. Il est accablé de misère.
11) Monte Cristo est le surnom d’Edmond Dantés. C’est le nom de l’île au trésor.
12) Mercédes n’imaginait pas son retour. Elle croyait qu’il était mort.
13) Les élèves ont marché pendant trois heures. Ils n’étaient pas habitué à tant d’efforts.
14) La ville de Laon est vantée par les guides touristiques. Peu de personnes connaissent la ville de Laon.
15) Le temps virant au beau, nous avons décidé de camper.
16) A cette heure tardive, il ne restait plus dans l’établissement que les élèves finissant leurs dossiers et des professeurs achevant les conseils de classe.
17) Le dîner fini, les cahiers rangés, mes parents m’envoyèrent au lit.
18) Les jeunes gens se mirent à chanter (manière)
19) (temps)...., je vais travailler de meilleur cœur.
20) J’aime rêver en voiture (temps)
21) Nous ne pouvions pas ouvrir la porte (cause)
22) La situation des jeunes demandeurs d’emploi est assez inquiétante (conséquence)
23) Une loi vient d’être votée (but)
24) (condition), je n’aurai jamais choisi ce lieu de stage.
25) (opposition), il ne se trompe jamais dans ses chiffres.
26) Un métal paraît (comparaison), qu’il est plus rare.
27) On ne la reconnaît plus (cause).
De 1 à 3 : corrigez les erreurs, de 4 à 7 : explicitez les relations entre les propositions, de 8 à 14 : construisez une principale et une relative avec les deux propositions, de 15 à 17 : remplacez les participiales par des conjonctives, de 18 à 27 : inventez la suite en tenant compte des circonstances .
Reconstitution de texte : (d'après MAUPASSANT)
1") Le père Boniface sort de sa maison.
2 ) Le père Boniface constate une chose.
3") La tournée du père Boniface sera moins longue que de coutume.
4") Le père Boniface ressent une joie vive.
5") Le père Boniface est chargé de la campagne autour du bourg de Vireville.
6") Le père Boniface revient le soir d'un pas fatigué.
7') Le père Boniface se dit une chose.
8*) La distribution sera vite faite.
9") Le père Boniface pourra flâner un peu en route.
10") Le père Boniface pourra rentrer chez lui vers trois heures.
11") Le père Boniface pense une chose.
12") Le père Boniface a de la chance.
13") Le père Boniface sort du bourg par le chemin de Sennemare.
14") Le père Boniface commence sa besogne.
15") On est en juin.
16") Le père Boniface est vêtu d'une blouse bleue.
17') Le père Boniface est coiffé d'un képi noir à galon rouge.
18") Le père Boniface traverse les champs de colza.
19") Le père Boniface traverse des champs d'avoine.
20") Le père Boniface traverse des champs de blé.
21) Le père Boniface passe par des sentiers étroits.
22") Le père Boniface est enseveli jusqu'aux épaules dans les récoltes.
23") La tête du père Boniface passe au dessus des épis.
24*) La tête du père Boniface semble flotter sur une mer calme et verdoyante.
25") Une brise légère fait mollement onduler cette mer calme et verdoyante.
Consignes :
1- Rédiger un texte correct en évitant les répétitions par l'usage de pronoms, de synonymes, de conjonctions de coordination et de subordination.
2- Transcrire le texte que vous aurez rédigé au passé, aux temps du récit, en employant correctement le passé simple, l’ imparfait, le plus-que-parfait et le conditionnel présent à valeur de futur du passé.. Allez à la ligne quand le texte passe de la narration à la description.